oa .m ‘, `j_DÉl HENRI IV,.,0 gnallélgà_perte,'jlavois delihere renvoyer en diligence léisïehevallier ' \ «1è`—B_agag, pour visiter mes serviteurs. Depuis, j’advise~ ‘d_e despecher X Oasis ; et luyale secretaire Viçose, Oavec les pouvqirs et instructiiiës, ( necessaires, les ayant chargez tous deux de vousvoir, vous repxàeîc senter ce qui se passe, et le desir- que j'ay qu’un chascun remedieël,/Es ; 1 à cesté' occasion,;l~’ass istance et le debvoir à quoy il est ; obligé. Je/Ã? nfasseure que vous n’y 1nanqi1erés -point, de vostre part, comme Ã? vous en prie, et vous asseure aussy que je ne perdray point le sou'?, zvenir de l’aH’ection et lidellité que vous m’y tesmoignerés, tainsy que S j'ay chargé les dicts s"’ chevallier et Viçoze vous dire de ma part ; ` sur lesquels je me remettray : priant sur ce le Createur, Mons’ de Sainct-Estienne, vous avoir en sasaincte garde. Auweamp devant I Rouen, le XX1Xejl)I1I` de mars 1592. -` _
_ FORGE']'. » 1592. -5--î3o_-M.xas. — l"°. , Orig. — Arch. municip. del Bennes.'Copie"transiliîse parih/l. Maillet, bibliothécaire. A NOS CHERS ET BIEN AMEZ’L ;ES ESCHEVINS HABITANS I '\DE N()STl’¤E"VlELEf, EE» RENNES. Chers et bien a1nez, `Nous avons amplement entendu paijvos dep- putez, presens porteurs, le jcontenu 'en vos remonstrances .et tout ice qu’ils avoient charge de nousidire devvostre part, tant ; pour le A fîgeneral de nostre province de Eretaigne, que pour ce touche vtostre pa ;rticulier ; sur_qi1oy vous seaurës d’eux-ceg»que nous vous b. avons accordé, vous asseurans que nous serions tousjours bien ayse " devous gratifier, cognoissans l°_af[`ection¢ qu’avés—_ aujhien de nostre 1 service, laquelle nous promet que l'a’uctorité que nous vous avons donnée, par l’octroy d’un corps de ville, vous.donnera plus de Qfonee _ . pour nous servir et vous maintenir contre les entreprisàesj»de—,, nosj ‘ ennemys. Quant aux maux que. soulîre le general de nostrel dicte '_ proviniôgvâ nous avons deliberé, aussy test que ce siege sera parachevé, C ‘ 76.