Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome3.djvu/637

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

au trépas du dfïllliêà idilcèblü ii *P}`°xl‘ 1nitéî__’cleîjs3ng çdnluiîieîi §çle‘ ;ncsu e=$p_qr§_—Qïlzl`àllicjzlé 5ef?;QzÃ$se}.u er Vostre Haultesse de l'immuable volonté qui nous Qacccn ;pàgne’fèi.]us¥ q_u’es ;’aÉ i ;0nibeau, <l?, y `peîjseuepeb ; niesines l’est ;eind1ie‘_:è;§ c01jrebcre ; ‘ `. d’au :;ntgiâe ;ï?si ;. fÃine se ien i endre\tqus les 0HticesNqui`_poiir— rontuclesplernliîe cle npusî; eîiânt parilesi rnesniesilettresx partiçuli_ei e>- menyîrespcnçlu ; àl}/icsttêÈHsultesse sur __les—.empeschiem_ens qui ncus ~ avoienj ; jusques’lÉ1retâi1’cliê il’ell’ect de ce mlesseings comme encppe gil ‘ faisoi ;—, procedzînxî_gleLQl§iÈguerre que lerey <l?Espai§ne_, bI`3S$é la Tûbëllloüg çOUliI’C_l€ fêll B0)’, IIOSUTB (lêllïllüfiiptêdecesà E seul ; depaptie degses sublects, et qui continue `enccre centre nousày entrepfendre °1¤ju ;;çmçn ;‘ pour usurper ceste Couronne, seul obstacle du desseing que son pere et luy ont toujours eu à la ruine de l’Estat et piiissz ;nce dont Vostre Haultesse jouit par la grace de Dieu, que nous luy souhaitons perdurable en tout heur et felicité, et à quoy le refus que les Roys nos predécesseurs, plusieurs fois recherchez de se joindre avec eulx`;"ont faict de vouloir `àdherer (qui auss les empesche de pouvoir contraindre les aultres princes chrestiens) a été cause d’une haine et inimitié immortelles qu’ils ont toujours portées aux Roys de France, et qu’ilsî_ l_e’s"*/0n_t pl11Isi—eufs’fgj ;s"assailly, let recherche tous moyens de les troubler en leur Royaulme, sans toutefois y avoir peu prendre pied, jü §gu’à;¤¢»;qygi sg-;sçV11s0¤`1uy a donné plus d'entrée et facilité, soubs le manteau et faulx pretexte de religion, qu’ils n'avoient jamais peu çylieîuieîî à c1 eu_lÉap_p_e— — ?l d’SlI` d,èi¥‘, È9`PC$"ë” °l,ê“ïÈrè’ `iS ;l?èiïf’l`Èië? EP _ `(lIlÉll’Ol’llê£ÃCl Ilî€SPîl1Èglâ18îIllZ`;;l?gî` et’l?î_rge :n ;l"§iîl1e.les lndesiluy lcïutè [ -"bissei11:‘ enîeibpn clëineae, ` ny hûlll’lQI ;Q• sg ;‘tÈ }Éle"1n05iei1s-Qciu’il pense luyu en pouvoir advancer l’effet.


La crainte qui luy est passée de voir sortir ceste année, aulcune armée de Vostre Haul contre luy (comme despuis deux ans la reputation a couru qu'elle s'y prepaproit pour luy empescher la dicte entreprinse, en etant bien informé) luy fait à present redoubler ses efforts. Et qui plus est, nous avons esté advertys qu'il a envoyé vers elle