DE HENRI_ IV. 6ll7 . premieres n'est poinct encore faicte. Pendant que je suis icy, je fais ' solliciter un chascun et advancer tout tant qu’il m'est possible.C’est ce que je vous diray pour ceste fois : sur ce, je prie Dieu, mon Cou- sin, vous avoir en sa saincte garde. Escript à Chaallons, ce xv° jour de juillet 1592. — ' . . . HENRY. q roncsr. . i 1592. — 17 Juittm. D, ‘ U ‘ Orig. — B. B. Fonds Béthune, Ms. 9115, fbi. 60. l I . Cop.- B. R. Suppl. fr. Ms. IQOQ- 3. p A L, A MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS. . _ J __ [Mon Cousin, J’ay tant faict que je suis party de Chaalons et venu - trouver mon armée en ce lieu. Je irav demain, si Dieu plaist`, loger _ à Sonppy 1, et nfadvanceray encores dimanche trois ou quatre lieues ' plus avant, au lieu que vous me manderés, s'il en est de besoing, pour favoriser vostre passage. J e vous prie, rnon.C011Sin, faisons dili- gence et nous- `hastons de faire quelque chose de bon, ce pendant que la saison est belle, et que Yestonnement est parmy nos ennemys. _ Bosne a rompu la sienne, et a desparties 2 ses trouppes par les gar- ` nisons, de sorte que personne ne nous empescbera de bien faire, si I nous voulons ne perdre point de temps. Attendant de vos nouvelles, je prie Dieu qu’il vous ayt, mon Cousin, en sa saincte et digne garde. . Escript au camp de Suippe, le xvif juillet i5g2. _ . _;, HENRY. p '_ nuzxâ. ‘ —Probabl'ement. Sompy ou Sommepy, au nord de Suippe. ' “ Telle est Yortliographe de Toxjiginal., _
