DE HENRI IV. 677 le croyant de ce qu'il vous dira de ma part <>omme’moy meSmè : et sur ce, je prie Dieu vous avoir, mon Cousin, en sa saincte et digne garde. Ã . . . . _ _, Vostre affectionne cousin, . . A i HENRY. [1592. - — 8 ocromvs.] — IV". ` Cop. -4-B. Suppl, fr. Ms. 1009-3. (D’après les registres du Parlement.) ` U [A MA NIEPCE LA GRANDE DUCHESSE DE TOSCANE.] . Ma Niepce, Envoyant le st de la Clyelle vers mon cousin le grand duc, vostre mary, je ne l’ay voulu laisser aller sans Yaccompagner de ce mot et luy donner charge de vous visiter dema part, aflin de nous rapporter de vos nouvelles à son retour, specialement de vostre dispo- sition et santé, ensemble de vos enfans, que je vous souhaite à tous aussy bonne que je la desire pour moy-mesme, vous priant croire . que rien ne vous sera jamaisplus asseuré que mon amitié, comme elle vous est acquise par double lien, l'un de nostre proximité, l’aultre du meritede celle de mondict Cousin envers moy, qui, sur ce, prie Dieu vous avoir, ma Niepce, en sa saincte garde. E - Vostre bon oncle, ` _ HENRY. [1592.]—~ 8 ocronns. —V'“°. Orig. autographe. — B. B. Suppl. fr. Ms. 1939, fol. 31; recw. Lettre : autographes de Henrillâ lithographiées pour M. le comte 1>z_L.ss 1 m*1•.m, n° 2. - Journal militaire de Henri IV, publié par M. le comte on Vawm. Paris, 1821, iu 8°, p. 37n . A MONS" DE 'SOUVBÉ. La Gode, Je vous ay desja escript ce jourdhuy par Forget ; ce n’est pas ma coustume de mettre sy souvent lamain à la pl_ume ; mais vous aurés encore ce mot .de moy par Foret, que j’envoye en Guyenne, pour vous asseurer que je vous aime plus que vous ne le sçauriés u
