_` DE HENRI IV. 785 ~ [1593.] —3_1'MAi.—I'°. ‘ ' 'Orig. autographe. - Arch, des Médicis. Légation française, liasse 3. Copie- transmise par Mr le _ ‘ ministre de Franceà Florence., ‘. ' A MON COUSIN LE GRAND DUC DE TOSCANEJ u _ ` Mon Cousin, Ce mot de maimain n’est que pour vous faire les remerciemens que je convertirois plustot en ellects pour tant` de bonne volonté que vous tesmoignés me porter. .llay` dict au s' de Gondy combien vivement j’en 'ressens Yobligation en mon cœur, pour la vous representer ; ayantesté trés ayse que la communication de nos ailaires et volontez soit GD main de personne sy ail’ectionnée et fidelle à vous et à moy. Je vous prie, recevoir ce_ qu’il vous dira ` de ma part et le croire comme si c’estoit de ma propre bouche : priant Dieu vous avoir, mon Cousin, en sa trés saincte garde. `Ce dernier de may, à Mante. T r . ., i I, i Vostre plus affectionne et obligé cousin, — r I ii HENRY. 1593. —— 31 MAI. 11mB.\ ‘ i Orig ;- B. B. Fonds Béthune, Ms. 9115, fol. Bl ;. , Cop.-Suppl.l’r. Ms. 1009-3. _ Ap MON COUSIN LE DUC DE NIVEBNOIS ET RETHELOIS. ' — oouvnnunun mir Mon rxmucrnmnr GENERAL mv ciiimmxoivsiz ‘ " Mon Cousin, Sur Yadvis qui m’est_venu delbeur que Dieu vous a donné en la rencontre de la compagnie du duc de Guyse, que, pour bonne marque de la victoire que vous en avés eue, le lieucte- nant vous est demouré prisonnier, aucuns de mes principaulx ser- _ viteurs, entre aultres.le s' d'O, m’ont prié vous escrire, à ce que vueillés faire, s’il est possible, qu’i1Ileur soit remis entre les mains, en payant la rançon à ceular à qui il appartient, pour pouvoir retirer, imrrmzs DE mmm xv.—u1. p 99
