P DE HENHIIV. 125 avant quiil sien retourne je pourveoieray de façon que mes ennemys ne pourront entreprendreaaucune chose contre mon service. Donnés- moy souvent advis de ce que vous sçaurés niïimporter. Je n’ay pre«, sent loisir de vous en dire davantage, tant jeîl suis accable d’ail’aires. Bon `our, Mons' du Plessis. Ce mercred, xxn " mars, à Paris. J Y .l
[159l1.]— 26 Mans. — I". Orig. autographe. — A Londres, State paper ïofiice, ancient royal letters, vol. XXII, lettre 163. ' Copies transmises par M. Yambassadeur et par M. Lenglet. . . [ A LA REINE UANGLETERBE.] - , Madame, Je crois que Dieu a voulu que les vents que le s' de Sid- na a eüs si contraires ià son assa e de la mer a ent retardé sa venue Y P g y pour le l’a1re arriver par deçà au temps ([11,11 avoit preveu, pour me faire ressentir les notables et heureux eliets de sa grace, qui me sont puis nagueres advenus, aliiin que, en estant tesmoing oculaire, il vous du pust faire plus veritable et particulier rapport. J’ay au demeurant esté tres ayse de Thonorable et digne election qu’il vous a pleu faire de sa ersonne our estre üdel ministre entre nous, et une fainiliere P P communicaüon de nos aiiaires et volontez, masseurant que, comme il s'est tres bien acquitté des comm_andemens qu’il avoit de vostre part, il rendra aussy les bons oilices envers vous, Madame, qui con- viennent à Yentretenement de nostre amitie et bonne intelligence,. à vous representer au vray ce que je luy ay faict congnoistre de l’estat beissance du Roy et beaucoup, dautres en la plus grande diligence que vous pour- villes, lesquelles ont envoyé prés de Sa rez. De Paris, le premier jour d'avril15gli. Majesté l€ll ;‘S (IGPRÈGZ. 1468 SBlgl]êI.1I’S DGS- Vostrc aiïcctionmi serviteur, portes et Zamet sont venus trouver Sa dicte « PUCHAIBIC. » Malœté d‘Él“ Paridç\M` le dîuidc Mîlyemœi (Reduction de tout le pays de Noniumdic en F0- lcur lcgauonicnd a fin dune Pam gene` bcissance du Roy, et le nom des villes ;h1 0chure rale. Pour toutes ces bonnes nouvelles m_8 — dc Six Pages, imprimée à Angers, en 1'¤¤ ¤ rendu gram à Diaw f¤îS=~¤t¤1w¤wr, 1594, et conservée danstla babiieiheque de le Te Daum : Je vous prie faire de mesme, M. Monmerqué.)
