. enfin à ce que son debvoir et la raison ne l’ont peu amener. Donné au camp devant Laon, le xxv11_]° may _1 5g!;.
rornan. — [159l1.]— 29 MA1; Cop. —B. H. Suppl. fr. Ms. 1009-3. A MON COUSIN LE CARDINAL DE BOURBON. 1 Mon Cousin, Fouquerolles s’en va par delà pour une allaire qui luy importe ; et pour ce que je l’aime, je le vous ay bien voulu re- commander, pour vous prier, de toute mon allection, de le f&lI"€ depescher au plus tost, à ce qu’il me revienne trouver incontinent ’ en ce lieu, où j’ai besoing de gens de service comme il est. Il vous dira de mes nouvelles, et comme nous sommes attachez icy. Je vous ’à t h d t t l’ t t d t t' J prie qu son re our je scac e es vos res e es a e vos re san e. e le vous recommande encore un coup comme personne que j’aH’ec- tionne. Bonjour, mon Cousin, ce XXIXE may, devant Laon. ' ’ HENRY. 159lL. — 31 MA :. Orig. - Arch. de M'" de Preissac Lyonsel, à Pau. Copie transmise par M. E. Garaj de Montglave. A MONS" DE LA CHEZE. ' Mons‘ de la Cheze, Pour pourveoir à la soubslevation des peuples que je suis aclverty se faire en mon pays de Xainctonge 1, j’ay donné charge au s' de Boissize, conseiller en mon conseil d’Estat, de s'y ' Cette lettre était de la main du Roi. I Les Croquants. Voyez ci-dessus les lettres à M. de Bourdeille du 11 niars et du 11 mai, et la note sur la première.
