DE IHENBI IV. 213 que les miens mesmes. Quant à ce que le dict Errard nous adict tou- chant vostre main levee, pension, payement de_vos debtes et aultres choses,-sdont il m’a monstre tm memoire que vous luy en avies laict donner, je vous en feray bâiller telles et si seures expeditions et assi gnations que vous les sgauriés desirer ; mon intention estant de vous faire paroistre qu’Fl n’y apersonne en ceapnonde qui desire plus vostre bien et contentement que moy, comme plusamplement vous l’appren— ` ares par celles que le dict Errarïl vous en escrira ; auxquelles je m’en remettra = our VORIS dire, touchant- les ro. los -ue vous Jawies eu en- Y P .P P . il i semble, pour ce me COi’î@,È:fl ;È7.çl} particulier et le lpijeijmwageneral de mon Bo aume, dont il m’a faict otüveîture de vosuè art': e, comme Y . .. P qu je ne desire en" avoir Yobligation à personne qu’à vous, aussy je le remets du tout à vostre bonne volonte `et jugement, asseure que, si ' vousîy mettes la main, je n’en doibs attendre que toute bonne yssue ; de quoy je me sçauray tres `bien- revancher et vous tesmoigner à ‘ toutes occasions combien je me sentiray vostre redevable : et sur ceste — U veritegg je liniray par vous baiser humblement les mains, et prier Dieu vouÈ,.avo ir, Miamyeyen sa saincte et digne garde. Ce Xl11_]° d6 sep`- tembre, à Fontainebleau. [ r` W ; I, 159l1.—— IGISEPTEMBBE. É J W Cop. — B. B. Fonds Saint-Germain Harley, Ms. 1190. A EOS CHERS ET BIEN AMEZ `EES MAIRE, ESCHEVINS ET HABITANS_ ëœjwè DE NOSTRE VIELE DE DIJON. V ' . UC eg ~ * `~ ) . Chers etbien amez, Si aves tant soit peu d’aH’ection à la», conserva- tion de ceste Couronne, et inclination ala recognoissance d’icelle, vous ne deves tenir estrànge et moins vous formaliser du debvoir auquel plusieurs de vos concitoyens se sont mis à se descharger du joug espa- gnol et d’une tyrannie toute manifeste, _à laquelle ils- seîsentent asservys, ' comme, si vous esties bons Francois, vous le feries aussy bien_ voir et Pecognoistre, puisque ceulx qui vous retiennent à present hors Cle
