Y "`.=oE nenni ivi 259 la derniere main, ou pour le moins qu’elle y soit mise en ma pre- sence : vous en remettrés la conclusion jusques à mon retour, reser- vant toutesfois `cependant les voix, en la forme accoustumée et selon i l’ordre de masjustice, sans passer plus_ avant, jusques_à*Ãmon dict q retour. M’asseürant que vous n’y ferés faute, je prie Dieu qu’il vous . _ ayt, lVlons’ le president, en sa saincte et digne garde. Escript à S‘- i Germain en Laye, le XXVIJB novembre 159li. ‘
`, I D — nuzé.
i .159Li. — 28 movements. — I".
Orig. — Papiers provenant des anciennes archives de Lyon et conservés dans cette ville. Copie transmise par M. Dupasquier. 0
A NOS TRES CHERS ET BIEN AMEZ~ LES CONSULS ET ESCITEVINS DE NOSTRE VILLE DE LYON.
Tres chers et bien amez, Nous"`vous avons cy devant ordonné de consentir à l’escl1ange que'nous desirons estre lîaict du s' de soches pour le s' Defüat, à quoy’nous_sommes bien advertys que vous avez apporté ce qui estoit du devoir et obeissance de bons dont nous vous sçavons tres bon gré. Toutesfois, nostre- intention n’ayant point en': ce'la'eu’dlefl’ect ;#à'cause de quelques diilicultez qui s’y sont presentées, `et continuant tousjours au desir de la deslivrance du dict s' Delliat, comme ses merites et recommandables services i nousyl obligent, nous vous avons bien voulu iiairece mot de recharge pour voussrecommander de tenir la main au dict escbange ; et ou il y auroit quelque obstacle pour le regard du dict sF^de Basocbes, vous nous ferés service bien agreable de substituer en sa place le marquis de Fortunat, ou m° Girard ou toutfaultre de ceulii que vous tenés dérables au jeune prince de Condé et à doit siagir ici d'Eléonore, née le So avril _; la princesse sa mère lorsqtfelle avait été i58 j, mariée en 1-606 à Pliilippcîçuib 1 inquiétée peuple mort équivoque de son laump de Nassau, prince d’Orange, et üïllléü llvS’BHlPlOy&POl1I` lTlOI’l.C à Muret, le 20 j3`I’llVl€I‘ eux avec lellmêiîie zèle. »ÃD’après celaplil i. rr" . 33. `
