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LETTRES MISSIVES

. lequel vous aves traicte cest ailaire, que nous nous contentons de Vous ' accorder encore le temps de cinq jours, po1u, avec plus de loisir, de- liberer sur ce faict et y apporter tous les respects que vous estimés estre de vostre debvoir. Nous estans resolus dloccuper, ce pendant, ailleurs. llOSiI’B 3.I’I`fléC, S&l'1S S, ClOlgl'1BI‘ Il€3Ili.ïI]Oll]S tant de VOUS, qïllôll UDC Journée nous ne soyons à vos portes. Advlses doncques de nous lialre sçavoir de vos nouvelles : aultrement soyés tous asseurez que nous . vous porterons nous~meSmeS des noSt1‘eS,. Escript au camp de Monti- guy, le x_]° aoust 1595.2. HENRY. i . FORGE']'. ` -1595. - 2li Aoûr. ‘ . .... . • Ong. — Arch. de la préfecture de Ma1ne et-Loire. Copie transmise par M..Gr1lle. - Imprimé. — Mémoires de messire Philippe.; dc Mornay, édit. in-!t°, t. II, p`. 607. ' A MONS“ DU PLESSIS, I i A coizsnxrtzn sn Mou comsnn. n ss rA r, csrirsmn on ciuoumrr uoumss D’ABMES ne Mns onnonmucns, nr couvmzmzun ns MA virus nn sAcMUs. il A Mons' du Plessis, J’ay appris par la suite de vos lettres quelles ont este les PCUIISCS dOI]i. il USB le dl,1C (l€ Mercœur SUI` VOSiI`€ negotxation, ` €il P3.I‘_VOS (l€I’I'1lCI’CS d€S Ville et Xllle de CG IDOlS, COIDIDG PHP CC (IUC vous en avés mande au s' de Gesvrel, ce qu’il avoit faict sçavoir à la Ptoyne madame ma sœur, par le s" d`./Xubigny, et le desir et advis de i ’ «l_.e lendemain,12, dit M. Béchet,' à Montigny, était venu reconnaître, du après la lecture de cette lettre, le conseil haut d’une montagne voisine, la position délibéra d’attendre la réponse ;des gouver- de Salins. H l'avait jugée en état de soute- neurs et du parlement, auxquels on avait nir un siege qui eût ralenti sa marche et envoyé des députés. Ceux-ci rapportèrent contrarié ses projets. Cette considération, enfin des lettres pleines de louanges pour et surtout les instances des ambassadeurs la fidélité de la ville, et de -_gra’ndes pro- suisses, le déterminèrent a ne rien entre- _messes de secours. Mais, s’il faut en croire prendre contre cette ville, et à s’avancer la tradition, Henri IV,, _pendant son séjour vers le midi de la province. ¤ ' Cette lettre de Mornay à Potier est imprimée, t. II, p. 605 des Mémoires de Mornay.