' sas . LE TT1àEs’ Missivss sera aysé, quant il sera prés de moy, où je lui mande qu’il se rende incontinent, et que, s’il y manque, ce me sera un asseuré tesmoignage de sa desobeïssance. Vostre secretaire Billard vous representera ce qui est porté par les dicts memoires et instruction ; sur quoy je vous . prie luy faire entendre combien il s’est., oulJlié, et l’en _reprendre de telle sorte qu’il se contienne cy-aprés ami bornes de son’debvoi r : à quoy nfasseurant, mon Cousin, que vous apporteres vostre prudence accoustumée et affection au bien demes aH’aires, me remettant aussy sur ce que vous dira de ma. part le dict's' de la Bastide, et la creance que j’ay donnée au dict Billard, `je-prieray Dieu, mon` Cousin, vous avoir en sa saincte garde. Escript aucamp de S‘-Senys, le xv11_]'° jour demars15g6. Q q "' J. ‘ ` - Ã` p` `HENRY. .` - i i' ii ' i `A rormn ; " ’[1_ 596.]—Ã 18_MABS. — lV'°°.i ‘ - - Orîg. autograplieë Musée bri tannique.^Mfsi Eeerton`, vol.'5,'i’oi. 81. Transcription de M, Delpit. \_ Cop. — B. R. Fonds Leydet', liasse 2, et Suppl. fr. Ms. 1009-3. ' A — [A MOl(IS“ DE LA FORCE.] _` — __; Mons' de la Force, Je ne fera)? `aultre response à celle que vostre É homme m’a"apportée et que Lomenie in’a fait voir, sinon que _i'ai’i e- mis ceux qui me poursuivent, touchant sa que vous m’avés escript, à les depescher quand ceulic', de mon parlement de Bordeaux auront veriflié mes edicts. Ce pendant je continue en la mesme volonté que festoislorsque vous partistes d’auprés de `moy. Empeschés qu’il n’arrive aucune sedition ou emotion à cause de cella, et m’advertissés souvent de 'ce que vous apprendrés. Quant à l’estat du bailly de Miac, il y a fort longtems que je suis engagé de promesse a un, ce qui fait queje ne le puis accorder au s' d’Aronc. A Dieu, Mons' de la Force. Ce xv11_]° mars, à S‘—Ceny, devant la Fere. i ‘ V V ; - i HENRX. _
