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DE HENRI IV.


nous attendons de sa singulière vigilance au bien général et universel ` de la Chrestienté, ainsy, que lé dict s" de Sillery luy Feraplus ample- ment entendre de nostre part : priant Dieu, `Tres Sainet Pere, cpfieelle Vostre dicte `Saincteté il veuillemaintenir, garder-et'preserver lon- gLlCIl'l(5I]IL GIZ heureusement du IDOD I ;CgIl`[l( 3, gOU.V€I’I1€lTl€Hlà (BI 3.dIIllI1IS t1 ation— de nostre mere Sainçte Eglise. Escript à Paris, le >;xv11]°_jour de janvier 1599., . ., ' _ . . U Vostre devot [ils, le roy de France I . et de Navarre, —` " ' . `, É HENHY. a I P Non -NEUFI/ILLE`. ` _ - . 1599.- 7 Fnviunn. É - ' Cop. Ã- B. N. Eonds’Fontette, porteii VI, pièce llll. W. - . I Imprimé en partie. — Traité dé l°0pinion (par`_Gilbert-Charles Le ;Gendre, marquis de Saint-Aubin sur-Loire), Paris, 1 ;.â1, in-i 2, t. VII, p. 397. ~— Et Suppl. au Jourrial de Lestoilç, au 25 février ' .15991. _. ' i - ‘ - _ LES PAROLES QUE .LE ROY A TENUESASMESSIEURS DE LAI COURT i DE PARLEMENT LE VII' FEVRIER 1599. Devantque vous parler de ce pour quoy je vous ay mande, jevous veulx dire une histoire que-je viens de ramentevoir au maresehal de U " Nous donnons intégralementhle texte . commencement de la seconde partie, où ancien du ms. de Fontette. Dans le pro- Henri IV exprime directement sa volonté cès—verbal secret, dont ces paroles sont ti—_ formelle de faire enregistrer l'édit de rées, on lisait auparavant : i ~ Nantes. Il n’ajoute—point la derniere par- .— «Du_jet1dy, vi1°`fevrier 1599. z tie, contenant les reproches d’hypocrisie ' • Monsieur le president a dit qu’il avoit et de faux zèle adressés à ceux qui se mon- eu ce matin l’ordonnance du Roy ; advertii traient hostiles à l'édit. . E ' messieurs les presidens se trouver, avec L‘extrême véhemencede cette apostr0— eulx, quatre de messieurs, et des enques plie et les- moyens extraordinaires dont tes, l’un des presidens et conseillers de. 'A Henri IV laccompagne, invoquantla force relevé, en sa chambre au Louvre. » des faits, parlant alimagination, joignant Saint-Aubin ne eite que la première les menaces etl'amertume’d`une mordante partie, contenant le récit merveilleux. La satire à la considération des intérêts per- continuation de Lestoile ne cite que le sonnels, provenaient de son impatience des LETTRES DE HENRI IV. v A 12 I