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advertissésles de remedier à ce point, et lenrasseurés qu’en ce `faisant ils ne seront en peine de Chose qui despende de moy. J’ay appris par vostre derniere, _du `xx1111° de fevrier, que _j’ay receue avec celle du_v111° `du dict mois et la precedente du>xk1e111° de janvier, la rehellion d’Asie par la-punition d’()smin—bassa, comme vous aves faiet par les miennes du mois de fevrier et mars`, l’accord que _i'ay faict avec leiduci de Savoye pour leirèconvxrement de mon marquisat de Saluces ; pour l’execution duquel j’ay*deliheré de m’acheminer en ma ville de Lyon dans le commencement du mois prochain ; qui sera tout ce que je vous escriray par la presente : priant Dieu, Monsî de Breves, qu’il vous tienne en sa saincte garde. Escript à Paris, le v11_]° avril 1600. ` I j HENRY. ` , « `_ 16.00:-'l7AVBIL _`, _ Orig. — Arch. municip. de Bayonne. Copies transmises par MM. J. Balasque et d’Aguerre Dospitai. A NOS CHERS ET BIEN AMEZ LES MAIRE ET JURATS `DE MA VILLE. I " -l onmvonivn. ei Chers et b'i_en amez, 'Nous vous avons cy devant escript comme nous avionspourven nostre cousin le mareschal d’Ornano de la charge de nostre lieutenant en Guyenne, et comme nous deliberions l’y en- ` voyer au plus tost pour prendre en main la conduicte ts administra- tion des'_afl’aires ;. ce que n’ayant peu faire jusques iicy, pour diverses occurrences qui nous sont survenues, ou sa presence nous a esté ne- cessaire, nous le faisons maintenant partir, ne vonlans pl—ns longuement priverpnostre. dicte province de Guyenne du fruict que nous esperons` qu’elle recevra de son gouvernement. Mais comme nous nous assen- rons que nostre dict cousin y sera tres utile, nous desirons anssy qu’il y soit recognen, honoré et respeT :teà comme _il convient à sa qualité ' — et merites, et à la confiance particuliere que nous avons-en ‘luy,'sans laquelle chacun peut bien juger que nous ne luy eussions pas commis la charge d’une province si importante. C’est pourquoy nous vous avons bien voulu escrire la presente pour vous recommander de luy