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U personnes qui estoient dedans l’un des dicts vaisseaux, qui `fut coulé ' à fond par quelquespirates anglois, ain_sy que le st de Boissize fera W apparoir à vostre conseil par les_inl’o1 mations en-ont esté faictes , de l'auctorité" de nostre parlement de Bretagne § 'surquoy nous vous . prions `croire__le s" de Boissiie comme nous—mesme, `—et comman- der u’i1 soit faict raison à `nos subects interessez en ceste erte, comme il conv1ent— à Yentretenement de nostre commune amitié et —_ » bonne correspondance ; à la seureté et liberté _du traficq ; et nous nous ' en revancherons à l’endroict de vos subjects ensemblables occasions, . si elles se presentent, ainsyquele os' de Boissize vous fera plus am- plement. entendre E priant Dieu, Tres haute`, tres `excellente et tres i puissante princesse, _ nostre tres cb~ereÉ _et > tres amée_ bonne sœur et ` " cou’sine,.qu’il vousayt en _sa tres saincte et digne garde. Escript à Paris, le. xv1_]° jourqde may iôoo. r / ;_ A " ‘ ‘ *’ '. i .^ Vostrebon frereetcousin, . - i Q S" nn`; Nnurvitppz. _ y -v`22 1\IA’I., v «~, L Origi — B. N.`Fonds_Saint Germain-Harlay,, n° 521, fol. 55. i = H J ~ . . ’ -3 •,-`iq : ¤ A : ; -~ I s - A, MONSQDEH SILLEBY, —, ~ » CONSEILLEREN Mou coiisnn. mzsru nr iron mmsslinnua A nom :. ` _' Mons" de Sillery, Je vous prie presenter à Nostre Tres Sainct Pere le.Pape les lettres que jejluy escris, `et_suivant icelles, interceder et vous employer envers Sa Saincteté, à ce que son bon plaisir soit, ` à ma no1nination, p1 iere etrequeste, pourvoir. mon cousin le- cardinal ~d’()ssat_, de l’evesché de Bayeux, à presentvacquant par la mort de mess"? René de Daillonl, dernier paisible possesseur d’iceluy,.luysen . ‘ Bene de Daillon avait été successive- J second fils de Jean de Daillon, comte du, , ment évêque de'Lucon, abbé des Cbastel-` `l. ude,—et» d'Anne de Batarnay. Après la ' lier, de Chaux et_de’Boissières. il obtint mortde Henri III,'dont il s`était montré l'_évêché de Bayeux, après avoir été recu l'ui1 des plus sages conseillers, il fut le pre- Meommandeur-du Saint-Esprit, 'à la seconde mier ecclésiastique qui reconnut son suc- _ promotion de l'Ordre en .1579. Il_était le . cesseur, s’opposa aux intrigues du cardinal
