aultre endroict. Sur ce, je prie Dieu, mon oncle, vous avoir en sa saincte garde. Escript à Paris, le xxe jour de janvier 1601.
FORGET
[1601.] — 22 JANVIER.
Orig. autographe.-- Arch. des affaires étrangères. Correspondance politique, Mas. Florence, vol, ll.
Copie transmise par M. Mignet.
[A LA REINE.]
Ma femme, Je suis arrivé en ce lieu de Nevers, à dix heures, et espere estre à Briare à my-nuict. La royne Louise cuida mourir samedy. Je me porte fort bien, Dieu mercy. Mandés-moy tous les jours de vos nouvelles. Je vous baise cent mille fois. Ce xxije de janvier.
[1601.] — 23 JANVIER. — Ire.
Orig. autographe. — Arch. des affaires étrangères. Correspondance politique, Mss. Florence, vol. ll. Copie transmise par M. Mignet.
[A LA REINE. ]
M'amye, Je suis arrivé en ce lieu de Briare, à trois heures du matin, fort heureusement Dieu mercy. Je repars pour aller à Fontainebleau disner, s’il plaist à Dieu : jamais ou ne vit une telle diligence. Conservés-vous bien, et me mandés de vos nouvelles. Je vous baise cent mille fois. Ce mardy |xxiije de janvier.
[1601.] - 23 JANVIER. — IIme.
Orig. autographe.- Arch. des affaires étrangères. Correspondance politque, Mss. Florence, vol, II.
Copie transmise par M. Mignet,
[A LA REINE.]
Par faulte du courrier, J’ay apporté jusqnes icy vostre lettre. La Varane a laissé la royne Louise en estat que je suis d’advis que n'y