Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/504

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

. DE HENRI lv. l lt79 en sa saincte garde. Escript à Fontainebleau, le XXV1j° jour de septembre 1601. ~ 4. _.— jr HENRY. A i_ . i ‘ rononr. — 1601. — 2 7 SEPTEMBRE. — Vim. Orig. — Arch. municip. d’Amiens, liasse D. 12, pièce 8. Copie transmise par M. Delpit. A I —Arch. municip. d'Abbeville. Copie transmise par M. Louandre. . ' ‘ . — Arch. municip. de Bourges. Copie transmise par M. le préfet du Cher. ' — Arch. municip. de Compiègne. Copie transmise par M. Graves. Etc. Cop. — Arch. nationales, section administr. série H, 1792, Registres authentiques de l’hôtel ' de ville de Paris, fol. 66/; verso. V — Arch. municip. de Rouen, Registres des délibérations, l5Ql•l602, l`0l. 3g8._ ` ' Envoi de M. le préfet. ‘ ' — Arch. de la cour d'appel de Rouen, Registres secrets originaux du parlement de Normandie, . vol. du g septembre IGOO au 8 novembre 160li, fol. 3g verso. q — Arch. du capitole de Toulouse, Registre des annales, vol. IV, Fol. A51. Transcription- de M. Belhomme. ‘ u i — Arch, de l’hôtel de ville de Saint-Quentin. Transcription de M. Eugène Janin. Etc. lmprimé. — Mémoires de messire Philippe.; de Mornay, in-li°, t. Ill, p. 23. Etc. CIRCULAIRE SUR LA NAISSANCE DU DAUPHIN. ` 1 Entre tant de miraculeux tesmoignages de l’assistance divine que l’on' a peu remarquer en nostre faveur depuis nostre advenement à ceste Couronne, il n’y en a, un seul qui nous ayt faict ressentir plus vifvement les eflects de sa bonté, que l’heureux accouchement de la Royne I1OSlÉI`€ tres Cll€I`€ et tres ZIIDCB GSPOUSC et COI'I’lP3g[l€, Vlêllli presentement de mettre au monde unÈlils : dont nous recueillons une joye que IIOUS ne POL1Vp1i1S assez exprimer, Mais Cûmme les Calamitez publiques nous ont tousjours plus esmeu durant nos miseres passées ‘ ‘ Parmi les exemplaires que nous avons par les mots : « Il a pieu à Dieu fair la recueillis, il n’y a que ceux à ladresse de grace à_ la Royne ...... » Celle aux capitouls la ville de Paris, de celle de Rouen, et du de Toulouse débute même ainsi : « Ce parlement de Normandie, qui contiennent jour d’l1uy dix heures du soir... ..... » Le ce préambule. Les autres commencent reste est à peu près semblable dans toutes.