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[-1598, —— veus LA FIN 'DE ssrrminns. [ — II"". ' Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-2. (D’après Yoriginal autographe qui était dans les Mss. Letellier i i . ' Louvois.) i A [ , I i JA MONS" MAULEVRIERE. Q ’ Mons" Maulevriere`, Je lains infiniment l’ennu i de mon coms P [ J . pere, que je ressenscomme si C’CSlIO1È le mien, et me rejouis encore de ce que vous estes prés de luy, pour le luy faire passer au mieulx , \¢qu’il vous sera possible : Jevous commande et vous conjureg si vous niaimés, que vous n’en bougies et ne Fabandonniés en ceste aflliction, ou je sçais combienipeut la presence d’un parent et bon amy tel que " vous luy estes, et auquel_ il ayt creance. J’envoye —ce laquais expres pour sçavoir de ses nouvelles ; mandés-m’en par luy et amplement ; et _ si d’adventure vous cognoissés que pour luy faire passer son ennuy plus axsement, et luy arracher la douleur du se1n,1l doibve faire `quelque _ | voyage, conseillés-luy de venir icy. Je voudrois que d’icy à quelques jours vous llamenassiés avec peu detram, `aflinqulestant pres de moy, je nfessaye de luy arracher la douleur de llesprit. Son aage luy de- vroit avoir appris à- consoler les aultres, `a plus juste raison, luy- mesme. Bonjour, Mau.levi i, ere.= r — . h . l HENRY. 1598. 4 i" ocfromin. W Cop. - Biblioth : de M. Monmerqué, Ms. intitulé Lettres à l'almbass¢tdcur du 'Levant. ' - [ A M. DE BREVES.] . Mons' de Breves, A ant faict res onse. le XVIe du mois assé à vos . Y P _ lettres du XXV11° juin et l1° juillet, je vous .advert1ray par celle-cy de la ` reception de celle du xxv° du dict mois, laquellelaict encore mem È [ . . .,., . . ., - . ' t1on du desir qu ils ont par dela que je sois mediateur dune paix ï entre ce Seigneur et l’Empereur ; sur quoy je vous ay adverty et es- [cript ma volonté si clairement par mes dernieres, que je n’y puis '
