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Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome5.djvu/575

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LETTRES MISSIVES
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de tenir la main à ce quelle soit suivye, et de le crere, et que je vous aime bien. A Dieu, mon compere. Ce vnf mars, à Fontainebleaul - HENRY. ' `, 1602. -g—g mns. - ‘ p . Orig. — Fonds Béthune, Ms. 9084, ‘l’ol. 25. . - C i ‘ "Cop. - Suppl. l’r. Ms. 1009-2. ~ Y ’ A [AU CCNNÉTABLE.] i i Mon Cousin, Le cappitaine qui commande à vos Suisses a seurement amené et rendu _en ce lieu le s' de la Houssaye et en a faictson deb- voir ; de quoy je vous ay bien voulu donner advis par ceste lettre. Et- parce que je vous ay mande mon intention sur les autres querelles par le s' de la Bocbepot, je ne vous diray autre chose par ceste—cy : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde, Escript à Fontainebleau, le IX? jour de mars 1602. ‘ '_ . ' H HE_NBiY. ` ` ~ im igeurvirrn. [ l#6.02. — 12 Mans. Orig. -- Fonds Béthune, Ms. 908lL,'l’ol. 31. ' ' Cop._— Suppl. fr. Ms. lO09 2. _ J [AU CONNÉTABLE.] [ Mon Cousin', Comme jevoulois faire response à la vostre du 1ii°, que je receus le Vlle par le commissaire Lafosse, je receus celle du dict'v11°, et au mesme temps j’ay eu aussy celle du Vllle, laquelle, combien qu’elle soit la plus courte, elle comprend neantmoins toutes les aultres ; et l’eus hier [à mon lever avecbeaucoup de .-contentement ; non que fapprebendasse la rupture de nostre paix, pour la peine et per1l de la guerre : c’estoit plus tost pour la consideration de mes-