I 5lt LETTRES MISSIVES triche, s’il le faiet p1‘ier .`d’assister au service q11’il` fera l’aire’pou1 ' le roy d’Espaigne, comme de la responce qulil vous faudra faire en mon nom au dict cardinalsur ce qu’il m’escript, je, trouv'e' hon que vous I en`çon[`eriés avec m' de Bellievre et m' de’Sille1 y, et que suivant la }. resolution que vous en prendres ensemble, vous luy escriviés. Et si vous aves des nouvelles, vous me les envoveres. Je me trouve un peu mieux, mais non encor bien. Je Fay ce que mes medecins veulent et ' - les croy', tant j’ay d’envie de guerir. Je pense que. _j'iray dans peu de Joursà S‘-Germain pour changer d’a1r, ou Je vous manderay de 'me venir trouve1 . A Dieu,. Mons' de Yilleroy, lequel je prie vous avoir en- sa saincte garde., ‘ I . . ' HENRY., 7 ` . [1598.1]-- 16 oeroenn.-1**. ~ i Imprimé. —`(-Econziiriies rbyctlcs, édit. orig. t. I, chap. 9Zt. :_ E [A M, DE HOSNY.] . . Q C J A O D ln • • _ ‘Mon amy, Suivant ce que Je vous escr1v1s hier par un de mes laquais touchant l’erectio'n d’un siege presidial en maville de Lec- jtoure, je vous prie tenir la main de tout vostre pouvoir à ce que m‘° le chancelier scelle cela et que je n’en oye plus parler, estant chose que _j’aH’ectionne. Vous luy feres entendre que je trouve mauvais ce qu’on ma rapporté, qui est qu°1l a chvulgué cest aH’a11‘e au prejudtce de ce que je luy en avois escript ; car _j’ay appris que ma sœu1 'l’a sceu. A Dieu. Ce xv_]° 0ctobre, à Monceaux. . . ` ` ‘ HENRY. K ' Cette lettre est placée à l’a1mée 1599 démontrent et le lieu de la date et le su- dans les (Economies royales : erreur que jet. »— ’ Elle était de la 'main du Roi. r _ • l" ’ b . l ’ •
