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Orig. autographe ; T- Bibliotli. impér. de Saint Pétersbourg, Mss. 886, lettre 6/i. Copie transmise i
` i par M. Allier. p `
_ - A M©NS“ DE BELLIEVBE, t, — i `
_ cnancnttxmn un ramer. .
Mons’ le chancellier, Vous sçavésiles commandemens que je vous
ay cy-devant i’aicts, tant de bouche que par escript, touchant l’expe—
dition de l’af}`aire des lettres de maistrises ; et quoy vous n’avés’encores
satisfaict : ce qui m’a liaict vous faire encore ceste recharge pour’vouS
prier que si vous desirés faire choseiqui me soitagreable, que vous
a és à sceller la `ussion ui est necessaire our cest effect ; car la
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longueur de laquelle vous avés usé _]usques 1Cy en ce faisant, me cle-
` plaist, attendu que c’est chose queje veulx et entends, sans la faire
rapporter en II1OI1_ conseil1.`Vous'sçavésaussy que celuy à qui cela
touche est mon serviteur, et comme je l’afl’ectionne. Clest pourquoy
je ne vous endiray davantage. A Dieu, Mons' le chancellier. Ce vf
"novembre, à Fontainebleau. — ' _
- 4. ' i HENRY.
. ' [1602.]- 7 NOVEMBRE ; A
Cop. L- Suppl. franc. Ms. l009-4. (D’après lautographe était dans le cabinet du duc de Sully.) W
i '_ Il U [AU DUC D’ÉPEBNON‘.] i i .•.
Mon amy, Sur les advis que j'ay eus que les trois mille Napolitains
et aultres forces qui sont en Flandres au service de l’archiduc doivent
‘ Voyez ci—dessus la- lettre du Eli "septembre et la note. p i
’ Labbé de Yliicluse, qui ; au milieu du sée à Rosny ; et la place parmi les lettres à
l siècle dernier, avait trouvé Yoriginal de ce ministre ; conjecture très-spécieuse,
cette lettre dans les papiers du duc de` tant par~cette provenance que par le ton
Sully d'alors, la crut naturellement adres- de confiance dela lettre et par le titre
- 87.
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DE HENRI IV.