Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/143

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` HENRI IV. l3l i part en vostre voyage ; duquel si vous me rapportés quelque 1‘esolu tion conforme à mon desir et digne du subject que vous avés traicté, je Vattribueray à vostre industrie et à vostre bonne conduicte. Qui sera tout ce que je vous escriray par ce porteur, que jay commandé vous estre envoyé pour vous advertir que vous me trouverés en ce . lieu, que le plus tost que vous pourrés vous y rendre sans incom- moder vostre santé me sera le plus agreable, et que vous serés le tres bien venu. Je rie Dieu, mon Cousin ' u’il vous a t en sa ` . P Y, samcte garde. Escript à Vil1ers—Coterests, le x° jmllet l603. î ' ' » HENRY. _ DE NEUFVILLL. 1 ' [1603. — IO oU ll JUILLET.] ' Imprimé.- OEcon0rizics royales, édit. orig. t. II, chap. 21. ' a . [A M. DE ROSNY.] . _ 1Mon amy, .l’ay sceu vostre embarquement, et par ainsy croyant que ceste lettre vous trouvera deçà la mer, je vous fais ces trois lignes, par lesquelles je vous dis derechef : Venés, .venés, venés ; et le plus tost _ que faire se pourra me sera le plus agreable ; car je- vous attends avec impatience, pour estre esclaircy de tout ce que vous m'escrivés _ par vos deux dernieres lettres. D — ‘ . HENRY. _ [l603.]— 13 JUILLET. i Orig. autographe. — Biblioth. impér. de Saint-Pétersbourg, Ms. 887, vol. I, n° 58: ` _ Copie transmise par M. Houat. A MONS" DE BELLIEVBE, ` c11A1v_cm.L11=;1 . on rnmcn. A Mons' le chancellier, D’autant que je desire que l’edict que j'ay ac- cordé à mes subjects de la religion pretendue relormée soit observé l Ce billet était de la main du Roi. .