. DE HENRI IV. l99 filles, femmes de chambre et laquais estant en quartier. Je serois bien aise que dans trois jours vous me vinssiés trouver à.S‘ Germain, ou je m’en vais, et m’apportiés la resolution que vous aves prise sur les - affaires que je vous escris, et ce que vous y aves faict ; aussy que A vous veniés voir mon Hls, que vous n’avés veu il y `a longtemps, et que vous luy ; faciès apporter sa chapelle. A Dieu, mon amy. Le XV1lJejOU.I` de febvner 1 (Sol ;. —,
[l60l1.]— ig riâvatna. - I". ` Orig. autographe. — Biblioth. impér. de Saint-Pétersbourg, Ms. 887, lettre A. Copie transmise _ q par M. Allier. D A MONS“ DE BELLIEVRE. cmmcnttxrn ma ramer. Mons' le chancellier, Je vous fais ce mot pour vous prier d’entendre le s' de Chanvallon sur ce qu’il vous propose de la part de mes freres les ducs de Lorraine et de Bar sur les affaires de feue ma sœur, et y pourveoir avec l’advis de mon conseil, y appellent pour cest effect . m' de Rosny, de Chasteauneuf, de Maisse, de Villeroy, Sillery, Cali- gnon et aultres que vous jugerés à propos, car je me remets de ces choses-là à ce que vous en adviserés, ayant assez de peine a supporter la perte que j’ay faicte, sans qu’il yfaille adjouxter le soin de ces affaires- là. A Dieu, Mons" le chancellier. Ce x1x° febvrier, à Sl Germain en Laye. i HENRY. [IGOZL.] — ig Fxâvmnn. — II". Imprimé. — (Economics royales, édit. orig. t. II, chap. 50. [A M. DE ROSNY.] _Mon amy, Tescris à m' le chancellier, pour assembler ceulx de mon conseil, afiin d’entendre les propositions que le s' de Chanvalon a charge de faire de la part de mes freres les ducs de Lorraine et de Bar, à cause de la mort de feu ma sœur, où je vous prie d’assister,
