DE HENRI IV. 227 ‘ 160lt. — 1li’AVr.1L. — I‘"°. Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. II ; chap. 35. . [A M. DE BOSNY.] 'Mon Amy, Sigognes vous dira mon intention pour ce que je de- sire que vous disies à madame de Verneuil, outre ce que je vous dis dernierement éstant en ce lieu, mieux que je ne la vous sçaurois es- crire, car le discours en seroit trop long ; mais en un mot, aut Caesar, ` aut nihil. Je desirois faire un voyage et Paris, mais je vouldrois que le faict des bagues de feue ma sœur fust depesché devant. ADieu, mon amy que _j’aime bien ; je me porte bien. De Fontainebleau, ce x11i_]° `o d’a `l 60 . ` Ã' mi VN ' A HENRY. [IGOLL.] — il ; avan,. — II"‘°. . Orig. autographe. - Musée britannique, Mss. Egerton, vol. V, fol. 93. Transcription , de M. Delpit. _ Cop. — Arch. de M. de la Force. i A MONSR DE LA FORCE. Mons’ de la Force, J'ay ce jour d’huy seulement receu les vostres du 1111** de ce/mois, sy que ce mot sera que pour en accuser la recep- tion et vous dire que, ayant soudé le Barrail, il ne 1n’a rien voulu dire. A ses responses toutesfois _j’ay remarqué qu’il‘ en sçait davantage. J e luy ay donné congé pour s’en retourner à Nerac pour suivre le juge- ment du proces qu’il y a. Il part d’icy aujourd’huy pour cest eiiect. En bref, je vous escriray plus amplement par l’homme qui m’est venu _ trouver à la campagne, que je fais estat de 'renvoyer dansdeux ou trois jours. Cependant je vous prie m’advertir de ce que vous appren- drés et avoir l'œil bien ouvert à tout. A Dieu, Mons' de la Force, le- quel je prie vousavoir en sa saincte_ et digne garde. Ce X1lIJ° 3V1`Il, à Fontainebleau, où il fait beau. . HENRY. ‘ Cette lettre était de la main du Boi,, ' ‘ ' 29. V
