DE HENRI IV. 349 [1605.]- 6 FÉVBIEB. Orig. autograpbe. — B. N. Fonds Béthune, Ms. 9089, fol. 8. ` A MON COMPEBE LE CONNES'1`ABLE DE FRANCE. Mon compere, Vous aves esté assez long-temps chez vous ; ciest pourquoy je vous Fay ce mot, pour vous prier de me venir trouver, pour m’aider à passer ce carnaval, asseuré que vous serés le bien venu et veu de moy, de qui vous apprendrés ce qui s’est passé icy despuis vostre partement ; mais surtout je vous dis encor un coup que vous _ seres le bien venuetlveu de moy. A Dieu, mon compere. Ce vf feb- vrier, à Paris. . i _ HENRY. - [1605.-- IO FÉVRIER.] ' Orig. — Musée britannique, bibliotb. Harléienne, Ms. 70(l8, Fol. 2/1A. Transcription de M. Delpit. Cop. — B. N. Fonds Bréquigny, Ms. 100. V [ÀU PRINCE DE GALLES ‘.] Mo11 Nepveu,-Quand mon fils pourra escrire, il vous remerciera de la meute dechiens que vous luy aves envoyée, et du tesmoignage d’amitié quîil a receu de vous par ceste souvenance et par vostre lettre. Ce pendant je respondray pour luy, qu’il se revanchera quelque _ jour de vostre courtoisie à vostre contentement ; quoy attendant, et — qu’il ayt autant de force que de bonne volonté de s’en acquitter, ien iieray ma propre debte, et payeray pouspiuy en vous offrant pour luy sa foy et son amitié, comme je fais ia mienne, et vous souhaitant pareille prosperité qu’a luy-mesme, .comme celuy qui sera tousjours Vostre affectionne et bo11 oncle, HENRY. I Sur ce prince, appelé le prince d'É note de la lettre de la fin de septembre, cosse avant Vavénement de son père au t. IV, p. 218.i trône d’Angleterre, voyez ci-dessus la
