A " [1605.]- IO Mauss- I"’.
Ori .auto ra he ; 4 Fonds de M. Lefèvre, libraire à Paris. Communi ué i ar M. Monmer ué.
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A MONS" MABYON.
Mons' Maryon, Ce mot n’est que pour vous ramentevoir l’afTaire
dont je vous chargeay dernierement, pour la revente des receveurs
vdes decimes, que j'aI}`ectionne d’autant plus qu’il y va de l’honneur et
r gloire de Dieu, augmentation de son eglise et de la memoire de mon
nom à la posterité, comme _j’ay commandé à la Varanne, que je ren-
`voye expres, de vous dire de ma part ; et que vous ne me sçauriés
tesmoigner l’afI’ection que vous aves à mon service en meilleure oc-
casion. Croyés donc ce qu’iI vous dira sur ce de ma part, et je prie
Dieu vous tenir, Mons' Maryon, en sa garde. Ce x° mars, à Louvre en
Parisis. .
HENRY. .
[1605.] — IO MARS, — II“‘°..
Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. II, chap. 50.
` `[A M. DE HOSNY.] '
1 Mon amy, Je vous prie de faire payer incontinent au s' de Merens,
_ qui vous rendra ceste—cy de ma part, la somme de douze cens livres,
pour les raisons contenues en l’ordonnance que je luy en ay faict ex-
edier, d’autant ue c’est chose e 'e desire,, m’a ant bien serv
P (I qu J . Y Y
toute sa V16, et ayant peu Iarct pour luy. Bon Jour, mon amy. Ce
x° mars, à Louvre, au matin. . _
‘ HENRY,.
' Ce billet et le suivant étaient de la main du Roi .(.'
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LETTRES MISSIVES
