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Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/387

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DE _HEN'R1 1VÃ 375 _ 1605. — 15 MARS. _ Imprimé.--OEconomies_ro_yales, édit. orig. t. II ; cl1ap.5o ;et Vie militaireetprivée de Henrill/, p, 287. _ [A M" DE BOSNY.] ` Mon Cousin, .l’aurois besoin de plus de temps et de loisir que je 11'en ay maintenant pour respontlre aux discours, raisons et plainctes de vostre lettre du’x11_]° mars‘. C’est pourquoy je remettray à vous en parler à la premiere veue et loisir ; et cependant je vous conseilleray, de prendre le mesme conseil que vous me donnés, lorsque je me mets en colere de ceux qui blasment mes actions : qui est de laisser dire et parler le monde sans vous en tormenter, et faire tousjours de mieux en mieux ; car par ce moyeu vous monstrerés la force de vostre esprit, ferés paroistre vostre innocence, et conserverés ma bienveil- lance, de laquelle vous pouvés estre autant asseuré que jamais. A Dieu, mon Cousin. De Chantilly, ce xv° mars 1605. _

  • HENRY,

i ' 1605. — 16 Mans. -1***. i U Orig. — Ms. appartenant à M. l’abbé Caron, à Versailles, pièce 66. V A MON COUSIN LE CARDINAL DE JOYEUSE. vnorncrnun ne Mns AFFAIRES EN cormr ne noms. ~ Mon Cousin, Je n’ay rien à vous dire de nouveau sur la mort du Pa e, de la uelle_ vous mlavés aclvert avec mon iambassacleur ar (I Y P ‘ La lettre de Sully, fort longue, pré- reuses du Roy. — Protestations de M. de cède cette réponse, dans les (Economies Rosny. — Loaanges à la calomnie.- Om- royales. Sully s’y plaint des calomnies dont bruges et jalousies du Roy. — Difcultez il est l'ob_jet, dont le P. Cotton s'était fait qui se rencontrent à bien faire. — Conclu- l'écho, et sur lesquelles nous aurons à re- sion de M. de Rosny. — Prudence et mo- venir. Voici les points qui y sont traités, destie de M. de Rosny. —— Esclaircissemens `d’après les indications sommaires placées demandez. — Raisons pour verifer une . à _la marge : Lettre de M. de Rosny au. Roy loyautéi — Impertinentes accusations contre sur ses peines. — Les inclinations du Roy M. de Rosny. — Finales snpplications. gehennées. — Les trois principales amou-