avoir, mon Cousin, en sa saincte et digne garde. Ce xx1_j° avril, à Vil-
- liers—Cotterets.
. 1606. — 2l : AvmL. Cop. — Arch. nationales, section administrative, Registres authentiques de l’hôtel de ville de Paris, serie H. 179â, fol. 85 verso. A NOS TRES CHERS ET BIEN AMEZ LES PREVOST DES MARCHANS ET ESCHEVINS DE NOSTRE BONNE VILLE DE PARIS. ' . Tres chers et bien amez, La proposition que le s' de Sillery, garde des sceaux de France, nous a faicte de vos parts, de tirer le canon de nostre bonne ville de Paris lorsque nous arriverons en icelle, nous est tres agreable et trouvons fort bon que vous le facies ; mais nostre intention est que ce soit selon l'ordre qui vous en sera baille i par nostre tres cher et feal cousin le duc de Sully, grand maistre de l'artillerie. A ceste cause, nous voulons et vous mandons que vous l’allies prendre de luy pour le suivre en tout point sans y adjouster ou diminuer aucune chose, car tel est nostre plaisir. Donne à Villiers- Cotterets, le XX.11lJ° avril 1606.
on ronnmn. [1606.] — 27 AVBIL. _ Imprimé. — Olïconomics royales, édit. orig. t. III, chap. 5.1. [AU DUC DE SULLY.] Mon amy, Suivant ce que je commanday à n1' de Villeroy de vous dire, que je desirois faire un present au nom de 1na femme à la femme du s" Arsens, en recompense des presens que ceux des Estats 1n’ont laicts et à ma femme par luy, je vous fais ce mot pour vous dire qtfincontinent que vous l'aures receu, vous acheties une enseigne ou autre chose que vous jugcrés plus à propos, du prix et somme de
