P GIS LETTRES MISSIVES nous en po ons ien. on soir, ma ame e ong a . e same y, a rt l) B d d M l t C Cl ` sept heures du soir, x° juin`, à Paris. , HENRY. n [l606.] — 10 Jem. Orig. autographe. — Archives des Médicis, Christine de Lorraine, liasse IV, 222. Copie transmise par M. le ministre de France à Florence. A MA TANTE ET BONNE NIEPCE LA GRANDE DUCHESSE DE TOSCANE. Ma Tante et bonne Niepce, Mon ambassadeur residant à Rome vous fera presenter ceste lettre, par laquelle je vous convie au haptesme . de mes enfans, que _i’ay deliberé solemniser au temps que mon am- bassadeur vous fera sçavoir, vous priant estre contente que je vous aye choisie pour, avecmon frere le duc de Lorraine, nommer ma - derniere lille et respondre pour elle en recevant ce sainct sacrement, chose que je souhaite que vous accomplissiés en personne, alhn de pouvoir mieux vous tesmoigner 111011 affection ; et au cas que vous ne i puissiés me donner ce contentement, je vous prie d’y employer pour vous celluy que vous nommera de ma part mon dict ambassadeur, et au reste continuer à faire entier estat de l’amitié que vous porte ` x° juin, à Paris. Vostre nepveu et bien bon oncle, ` HENRY. à la nage pour aider à sauver la Reine, de cet accident, dit que, si elle s’était que la Châtaigneraye, à cheval, retira par trouvée là, elle aurait crié La Reine boit ! . les cheveux. Les autres princes furentaussy ce qui ralluma la haine de Marie de Mé- sauvés. La marquise de Verneuil, au récit dicis contre elle. C
