Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome6.djvu/733

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_ ET ADDITIONS. 717 Page (170, i’° colonne dela note, lignes 2 i et ni laiser antrer personne qui ne veist home 22 : et ne pouvons croire qu’il se puisse, de la part de ne ma" aconpagne de TREE ce- lisez : et ne pouvions croire qu’il se veult. lecs de son seau il seroit nesesaire que tire Page lt7l, 2’ colonne de la note, apres la ma" iprouucut prontcmant de quelque per- ligne 6, ajoute : : D’Artenay, ce juillet sonne qui lui soit [idclle ie lai eu de E ma'° 1605. ie le lui rans cet une plase qui ruineroit tout Comme cette lettre de la reine Marguerite, le peis si elle estoit en mauuesse main ie su- dont nous joiynons unfac-simile au présent vo- plie donc tresliumblemcnt GF : ma" di prou- lume, ofre des habitudes d`écritare un pen voir prontemant et de croire que mes ambi- diférentes de (`écriture de Henri IV, sans s’as- sions apres lhonneur des bonnes grases de trcindre tlavantage à l’ortlio_graplzc, nous ajou- vos ma'" sont bornees a boulongne labitude serons ici, pour en faciliter la lecture, une que iai ûaite daimerle repos au un sejour de transcription d'une fidélité minutieuse : disencuf ans ne mc pcrmestant aiant trouvé An Roy une demeure an bel aer coiîic boulonguc de Monscgneur et frere desircr autre changement tres heureuse Monsegneur iai fait parler a m' de roni le quelle soit anlieu ou mes actions puisèt estre iantillome qui mavoit donne lauis qui estoit reconnues qui ne tenderont iames qua ho- si prccipite disant que le mal an dcuoit escla- norer et servir mie ma" come la plus obligee - ter dans le mois daut que ieuse este indigne et lidcllc de ses creaturcs qui apres lui avoir de tant dbonneur et de bien que ie resois de tres lmmblcmant base les mains prie Dieu ITE : ma‘° si promtement ic ne lui euse fait Mousegncur lui donner tres heureuse et entendre il vouloit le dire a um ma'° an ma tres longue uie dartenc ce iuillet-1605 presence pour obtenir delle par mon moien VR tres humble et tros Obrisrmw queses parans qui ncut voulu mestre en servante mur et Sugcœ painc nan pause laiant considere m' de rom MARGUERITE m' de lavarenc et moi nous croions que la promesse que cctingratleur fait dc ce randre Page 501, ligne 1, au mot Saint-Bonnet, ren- dons le mois daut an sa maison pour esfec voyez à cette note : tuer leur antrcprise nest que pour anbar 'Leonardd'Escars, seigneur dc Saint Bon— quer les plus fous et nc pouuions croire quil net, Saint-Ybard, etc. fils de Leonard d’Es- - se ucult iames hasarder a tel retour toutefois ca1 s et de Catherine dc Joignac. inte ma" an iugera trop mieux mon deuoir ne Page 515, ligne io : Lugagnac. lisez : Laubagnac. permestoit que ie le lui pense tere ie uoix (N. B. C’est dans la note, que le nom de aucc la permition de tire ma" an ma maison Lugagnac est proposé comme devant être de boulongne pour ifairc ma demeure an lo- préféré à Laabagnac, texte des OEconomies beissance de ses commandemans et lors quil royales.) plaira a sa ma" ie prcsantere a m' le dolin Pages 635, ligne 28, aux mots : .l’ay voulu faire ce que ie lui ai desdie ainsi que plus particu— entendre aux Peres Jesuistes de deçà ce que lieremant ie lai discouru a m' de roni iai vous m’aviés escript par vostrc lettre du laise E chatan duson an sure garde antre xxvi11° du mois passé .... Renvqyez à cette note : les mains dun uieux iantilloiîie mon mestre ‘ Cette lettre se trouve au livre V des Am- dotel de toux mes suises et soldes qui mi ont bassades de M. de Fresne - Canaye, t. Ill, servie le tans quil aplcu a dieu que gi aie este p. 85, ou on lit : « M'estant enquis des et iai ausi laise madame de uermont pour les principaux du Senat, et du Prince mesme, tenir toux solisites de leur deuoir cest une des motifs de ce decret (le bannissement des plase dinportanse iai pris asnransc deuxlde Jésnitesà perpétuité), je trouve que ce n’a point