DE HENRI IV. 87 ' vous souvenês de moy, et le s' cl’l lalincourt, mon ambassadeur, nfayant avec cela particulierement tesmoigné la continuation de vostre adection au bien de mes aiiaires, je vous en ay bien voulu remercier par ceste cy, en vous asseurant des eilects de ma bonne volonté quand il s’oii’rira occasion de les vous faire esprouver à vostre bien et advantageuainsy que mon dict ambassadeur vous dira plus amplement de ma part. Je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa tres saincte et digne garde. . i `
[1607.] — Jaivvrnn. — IV" ‘°. Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. [AiM“ DE LA COURT. ' vnanisa xmssxnsnr ou raatnnsxvr ma uoaimvnis.] Mons' de la Court, Je ne pensois pas que ma Court de parlement' de Rouen deust tant de fois differer la verification pure et simple _ du contract passé en nostre conseil pour la vente faicte duc de Wirtemberg, des terres .et domaines d’Alenç0n, Sainct-Sauveur-le- Vicomte, Sainct-Sauverw-Landelin, Valoignes et Nehon 1. C’est pour quoy je luy envoye maintenant mes dernieres lettres de jussion, afiin de faire lever la modification qui regarde les amendes des bois de hante fustaye, vous ayant bien voulu dire que je tiendray à service lettre, furent les derniers ; car il fit pa la part qu'il avait prise a Yabsolution, , raître douze volumes de ce savant tra- en 1595. Aussi, lorsque Henri W reçut vail, dont la continuation l’occupa _jusqu'à la nouvelle de sa mort, six mois après cette sa mort, arrivée cette année même, à la lettre, il lui lit faire un service solennel fin de juini Le Roi le remercie encore de à Notre Dame de Paris, comme hom— _ l’all’ection qu’il continue de lui témoigner. mage dune reconnaissance toute parti- Il en avait donné une preuve éclatante par culière. 1 ‘ Saint Sauveur le Vicomte, Saint-Saw Manche, dans les environs de Valognes. veur Lendelin et Nehou sont aujourdhui Les deux premières sont chefsdieux de trois communes du departement de la canton. ‘ e
