» volontiers en voStrc endroict. Je prie Dieu, mon Cousin, qu’il vous
ayt en sa saincte garde.
_ ‘ HENRY.
l607. — 27 MM. —I"°.
Orig. — Arch. de l’Empire, sect. hist. série K, IO5, 3.
A MONS" DE LA GUESJJE, _
- CONSEILLER EN MON CONSEIL D'ESTAT ET MON PROCUBBUR GENERAL EN MA COURT
DE PARLEMENT. .
‘ Mons" de la Guesle, Veu le commandement verbal que je lis der-
nierement a Paris à ceux de ma court de Parlement, de proceder à la
verification de mon edict de vendeurs de bestiail, je trouve fort es—
trange qu’ils n’y ayent satisfait. Cest pourquoy ayant appris que sur
. la derniere `ussion ui leur fut resentée sur ce sub’ect., ils ont or-
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donné ue remonstrancesme seroient f31CllCS, e vous fais la resente
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pour vous dire que vous ne faciès laulte de solliciter et faire en sorte
que ceux de ma dite cour ordonnez pour cest ellect me viennent
trouver au plus tost en ce lieu, pom apprendre par ma bouche ce . —
qui est de mon intention et le mescontentement que fay d’eux pour
ce regard : à quoy m’asseurant qu_e vous satislerés suivant ma volonté,
je prieray Dieu qu’il vous ayt, Mons' de la Guesle, en sa saincte et
_ digne garde. Escript à Fontainebleau, le xxv1J° jour de may 1607.
’ DE LOMENIE. 1607. — 2 Mai. —II'“°. _ 7 _ Orig. autographe. 1- Biblioth. impér. de Saint--Pétersbourg, Ms. 886, lettre 55. Copie transmise par M. Houat. A MONS“ DE BELLIEVBE. _ CHANCELIEB DE FRANCE. ` Mons' le chancelier, Je suis fort sollicité par mes medecins de sortir de peine un jeune medecin nommé Brunier, auquel j’ay donné sa