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LETTRES MISSIVES
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parts et occasions vous me tesmoignerés l’aiI’ection, ainsy que je vou- drois qu’il s’oH’rist subject de vous faire paroistre ma bonne volonté à vostre bien et advantage, comme vous dira plus amplement mon dict ambassadeur : sur lequel me remettant, je prieray_Dieu, Mons' l’ar— chevesque d’Urbin, qu'il vous ayt en sa saincte et digne garde. _

HENRY.

[]60'7. — vnns LA FIN ne JUILLET.] — II". Cop. — Archives de M. le marquis de la Grange. l i [A M. UVALDINI.] Mons' Uvaldini, La memoire que [ay du feu pape Leon onzieme et les tesmoignages qui depuis m°0nt esté rendus par le s' d’Halin— court, mon ambassadeur, et mes aultres serviteurs qui sont par delà, de la continuation de vostre affection au bien de ceste Couronne, mbbligeroient assez à recognoistre que le choix que Nostre Tres Sainct Pere le Pape a faict de vostre personne pour resider nonce de Sa Saincteté prés de moy ne produira que beaucoup davantage au bien de mon service et au contentement particulier de Sa Saincteté. (Test pourquoy, _]°ay bien voulu me conjouir avec vous par ceste lettre, et vous dire qu'en ayant receu tout contentement parles oliices d’assen— rance que m’en aves donnez par vostre lettre du x° du passé, je vous ` y verrray tres volontiers et vous tesmoigneray en toutes occasions les eH’ects de ma bonne volonté, ainsy que vous dira plus amplement mon » dict ambassadeur : sur lequel me remettant, je prie Dieu, Mons' Uvaldini, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. HENRY.