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LETTRES MISSIVES


Cependant, je vous diray que j’ay pris enëonne part le remerciement _ que vous m’en aves laict par vostre lettre du x° de ce mois, et vous asseureray de la continuation de la bonne volonté que je vous porte : priant Dieu, mon Cousin, qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le_xx11i_]° jour de decembre 1607.

HENRY.

nncrinr. 1607.-31 DÉGEMBBE. Orig. — Biblioth. de la ville de Metz. Copie transmise par M. Clercx, bibliothécaire. Cop. — Arch. de M. le marquis de la Grange. [AU CARDINAL DE GIVRY.] . Mon Cousin, .l’eusse esté bien aise de deferer à la recomman- dation que vous m’avés faicte par vostre lettre du 1x° de ce mois, en faveur du s' Bertazzole, chanoine de l’eglise Sainct-Jean-de-Leu I tran, pour les tesmoignages que vous me rendés de son merite et afliection à mon service ; mais comme _i’ay pris resolution-, il y a long- temps, dc n’accorder aucune reserve, en faveur de qui que ce soit, des portions que je puis conferer en la dicte eglise, pour la conse- quence, il •l’aut qu’il se remette à en attendre de moy la gratilication, quand il y escberra, ou lorsque l’occasion s’ol’I`rira de luy bien faire d’ailleurs ; vous asseurant que pour l’amour de vous il me sera tous ° jours particulierement recommandé, ainsy qu'il cognoistra par effect : ' priant Dieu, qu’il vous ayt, 111011 Cousin, en sa saincte et digne garde. Escript à Paris, le dernier jour de decembre 1607. A HENRY. . naux.M« r