Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/526

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. DE HENRI IV. 509 vous me tenés par vos foibles raisons ; que vostre interest soit donc la cause de faire que je vous voye. Le Maire vous dira les raisons pour lesquelles il est necessaire ; il vous dira trois ou quatre lieux et celuy que [estime le plus propre. Je vous donne le bon. soir et vous baise les mains. [1608.—vEns rn A Ava11..]«I'°. _ Cop. — B. I. Suppl. fr. Ms. l009-li. [A LA MARQUISE DE VERNEUIL.] • i Mon cher cœur, J'envoye la Guesle vers vous, pour scavoir les bons contes que vous ne me pouvés escrire. Je n’ay pas pensé à propos de luy parler de l’afI’aire de Ham, que le vicomte de Brigueuil ne fust venu, que _i’ay encore renvoyé querir. Toutesfois, si vous desirés que je luy en parle devant, renvoyés—le moy, et je le feray. Je me suis trouvé mal ceste nu.it ; mais j'espere que ce ne sera rien. Je remets au porteur force choses qu’il vous dira. Je vous donne le bon soir et un million de baisers de bon cœur. ' C [1608. — vas LE A Avait.] - II". . Orig. autographe. — Biblioth. de l’Ai senul, Mss. Histoire, n° 179, t. Il. ° [A LA MARQUISE DE VERNEUIL.] . Mon cher cœur, Je vous lay ce mot demy mort d’un Felon qui n1’a prins la nuit passée par haut et par bas, qui m’a rendu si foible que je ne me suis peu trouver aux ceremouies, n’ayant, bougé du lit ; je n’ay point, Dieu mercy, de lievre, et crois que cela m’aura servy cl’une medecine. Je finis en vous donnant le bon soir et un million de _ baisers.