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ment, mettant en consideration le long temps qu'i1s attendent aprés cela, j’ay bien voulu vous faire ce mot et vous prier cl’adviser soit des dicts moyens, ou aultres que vous jugerés plus à propos de leur donner contentement, comme ç’a esté tousjours mon intention, la- quelle je desire estre ellectuée. A Dieu, mon amy. Ce vj° juin, à Fon- tainebleau. .
[1608.] —— 6 wm. —I11“‘°. _ Imprimé. — (Economies royales, édit. orig. t. Ill, ch. 2 1 . [AU DUC DE SULLY.], on am, a comman e ue a commission a ressan e ma M y .l° y d' q l cl t à chambre des comptes, pour vous faire delivrer tous les comptes dont vous pourrés avoir besoin pour mon service, fust depeschée et vous fust envoyée, alin d’en recueillir au plus tost le fruict que j’en espere par vostre soin et vigilance accoustumée au bien de mon service. A ° Dieu, mon am . Ce v ° `uin, à Fontainebleau. Y J J . [ . HENRY. [1608.] — 6 Juin. —1V”“°. Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyère. A MON COUSIN LE DUC DE SULLY. 1 Mon amy, Les comediens italiens sont venus vers moy pour se plaindre de ce que vous avés faict si peu d’estat de les faire payer de ce ue `e leur a ordonné our le mois assé ; et our ce ue c’est (1 .1 Y P P P (1 chose ue e desire, `e vous fais ce mot ar l’un d’eux, our vous dire ll .1 .1 . P P que ma volonté estant telle, je desire que cela soit, tant pour le passé que pour l’advenir, jusqu’à ce que autrement je vous le commande. A Dieu, mon amy. Ce vj‘° juin, à Fontainebleau.
‘ Au dos est écrit de la main de Sully : ` « Le roy, du 7 juin, pour les 1608. »
