DE HENBI IV. Gil'? libente d'estre veue de ceux qui ont dessein de la rechercher, j’ay _ bien voulu vous faire ce mot en faveur du baron de la Force. Vous _ scavés comme son pere 1n’a tousjours bien servy et que je les aime. Je vous prie, departésdeur toute l'assistance qu’il vous sera possible, et faites entendre aux s' et dame de Sainct-Germain, auxquels feu escris, que si le tils du dict s" de Sainct-Germain ne peut y par- venir, que‘ je desire qu’ils consentent au di.ct baron de la Force, en quoy ils me donneront beaucoup de contentement. Employés-vous—_y donc à bon escient, je vous prie. Je scay qu’ils croient lort en vous ; ce sera me rendre un service fort agreable. Ce xx“ novembre, à Paris. J, I HENRY. [1608.]-- 23 Novnmaan. Orig. autographe. —B. I. Fonds Béthune, Ms. 9138, fol. 3A.- Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-3. A MADAME DE MONTGLAT. 'I Madame de Montglat, Vous m’avés faict plaisir que, sur l’advis que le [ils de Frontenac avoit la petite verole, de transporter mon Els au petit chasteau. Faites le mesme de mon Hls Alexandre et de ma Hlle, lesquels je vous recommande, et que vous me mandiés souvent des nouvelles de mon fils. Ma femme accoucha hyer, sur les neuf heures _ du matin, de ce qu’il a pleu à Dieu. De quoy elle est plus las-, chée que moy, qui l’en console. Bonjour, madame de Monglat. Ce XXII.]"", novembre, à Fontainebleau.
[1608.] — 25 Novnmams. Orig. autographe. — Cabinet de M. le général comte de la Loyèrc. ' Q Imprimé. — OEcon0m£cs royales, édit. orig. t. 111*11. 25. _ A MON COUSIN LE DUC DE SULLY. Mon amy, Il y a quelqucgnpsque je vous escrivis de laire donner . une assignation à m' l’evesque de Carcassonne de la somme de dix-
