DE HENRI IV. 663 Vous n’y avés pas seulement essayé, nly respondu à la premiere plainte : que porte ma lettre. Vous estes une muqueuse, et au partir de la ` vous dites que vous me cognoissiés bien. Vous vous estes si mal trouvée de me vouloir mener à la baguette, que vous vous dehvriés estre faicte sage. Vous me menacés de vous en aller à Verneuil, faictes ce qu’il vous plaira. Si vous ne nfaimés pas, je seray fort aise de ne vous point voir. Si vous diotes m'aimer, c’en est un mauvais tesmoin— na e ue de s’en aller uand "ar 've. Je verra donc ar ceste È S (I (I J Cl Y P quelle vous estes. Je seray jeudy à Paris, aussy mal satisfaict de vous, si vous [ne] changés de style, que je fus jamais. Sur ceste verité je vous baise les mains. [1608.] — XVIM. Orig. autographe. — Biblioth. de l’Arsenal, Mss. Histoire, n° 179, t. II. [A LA MABQUISE DE VERNEUIL.] ` Mon cher cœur, J’ay donne ordre que nostre fils ne se promene tant ; il est tout merancolique depuis son mal. Nostre fille se tourna arsoir un pied ; de quoy elle a la cheville e'nflée, et cela est assez i ., ., • doloreux ; ’a commande u’elle ardast le lit. Ce n’est as du cost J Y il S P @/ . de sa Jambe qui estoit foibleq dans deux jours elle ne s’en sentira pas. Je m’en vais courre un cerf`. Je vous donne le bon jour et un million de baisers. vidame du Mans_qu`à la mort de son beau- société française. Le marquis de Pisani, père, Claude d'Arquenay, dont il hérita son père, remplit, comme ambassadeur à cette dignitéi et il la transmit à son fils Rome, un rôle considérable dans le Charles d'Angennes, qui fut désigné de III° volume de cette correspondance ; et sa même à la cour de Louis XIII. Catherine fille, Sophie-Lucie d’Angennes, qui devint de Vivonne, femme de ce dernier vîdame, 4 duchesse de Montausier en 1(SA5, partages était appelée la marquise de Rambouillet, son influence sur le goût et la politesse de et s’est rendue célèbre dans l’histoire dela leur temps.
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