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~ y' 1609. — 7 Mans. — II""., 4 Orig. —‘ B. I. Fonds Béthune, n° 9020, f°'3g. A B . At MONS“‘DE BREVES. I ` ~, — co1vsnn.1.m . mv Mou coussin wssmr nr Mon Annsssansua A noms. Mons"de Breves, _J’ay cy-devant gratiûé le s' de Pluvineldune pension de quatre 'mille livres sur llevesché de Grenoble, extinguible 'de douze mille livresl, laquelle ayant esté mise soubs le nom d’un s' de Schuines, son beau-frere, qui est ecclesiastique, iceluy de Scbuines, au prejudice de la decla_ration que _i’en ay faicte au profict du s" de Pluvinel2, pretend inquieter par delà l’evesque, qui, en con- formité de mon intention, en a obtenu arrest de mon conseil à sa ` descharge. Par tant, s’il remuepar delà chose qui puisse prejudicier ‘ au dict evesque, vous vous y opposerés et ne permettrés que, pour m’y avoir obey, il soit troublé ny molesté ; et vous me Ierés service tres agreable : priant Dieu, Monstde Breves, qu’il vous ayt en sa . saincte et digne garde. Escript à Paris, le vif jour de mars 1609.- HENRY. ° U 0 i I 1sam.Aa r. ‘ C’est-là-dire susceptible dlêtre éteinte siège. Cette lettre-ci nous apprend que la par le payement d’une somme de douze ' I pension accordée ostensiblement à M. de mille livres. Le mot extinguible manque Scliuines était destinée, en réalité, par le dans nos dictionnaires. Roi, au moyen d’un de ces arrangements ’ On a vu ci-dessus que le président simoniaques trop fréquents alors, à M. de _ de Chevrières, devenu veuf, avait obtenu Pluvinel, écuyer de son écurie, regardé l'évêché de Grenoble, — moyennant une comme le premier, homme de cheval du pension à servir au sieur de Scliuines, V temps. ecclésiastique d’abord proposé pour ce ' q ‘ . _. e ‘
