DE HENRI IV. 709 _ qu’il vous ayt en sa saincte et digne garde. Escript à Fontainebleau, • le xvf jour de may 1609. U HENRY. x' I saumur. [1609.] — 16 MAI. — II'". Orig. autographe. — B. 1. Fonds Béthune, Ms. 9097, fol. 1. A MON COMPERE LE CONNESTABLE DE FRANCE. Mon compere, Ayant apprins q11e vous desirés que Pluvinel se trouvast aux nopces de vostre lille, je luy ay permis d’y aller, et vous ay bien voulu faire ce mot par luy pour vous prier de m’en mander toutes nouvelles, et ce qui y sera passé ; car force 111`en pourront conter, qui me les desguiseront comme il leur plaira, ou vous, qui estes le pere et qui avés le plus d'interest que aulcun aultrc, me manderés la verite De quoy je vous prie, et avec cela de vous asseurer de plus en plus de la continuation de mon amitié. Je remets au dict Pluvinel de vous dire des nouvelles de ce lieu et comme il y f’aict beau. A Dieu, mon compere. Ce xv_]° may, à Fontainebleau. HENRY. i 1609. — 16 MAI. — III". Orig. — B. 1. Fonds Béthune, Ms. 9072, fol. 100. . Cop. — Suppl. fr. Ms. 1009-3. A MES COUSINS LES DUC DE BOUILLON ET COMTE DE BRISSAC, mnnscmux on mince. Mes Cousins, Vous avés faict chose qui m’a esté tres agreable, d’a- voir envoyé prisonniers les deux s" d’OysonviIle freres, pour avoir _ soustenu devant vous d’avoir tiré et faict tirer le s' de Sanilon de vingt harquebusades et failly à le tuer. Continués cloncq à terminer' cest allaire, et pour cest eB’ect Paictes sortir des dictes prisons iceulx s" d’Oysonville pour les accorder, lorsque vous verrés estre a propos :
