Page:Henri IV - Lettres Missives - Tome7.djvu/808

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_ DE HENRI IV. 791, 1609;-T 21 ocronma. Orig. autographe. — Biblioth. de la ville de Met ;. Envoi de M. Clcrcx, bibliothécaire. I [AU CARDINAL DE GIVRY.] Mon Cou sin, Vous pouvés vous ressouvenir de ce que je vous recom- manday et feis dire par M. de Villeroy : que desirois que ne fissiés pourveoir à aucune charge et n’innovassiés rien es terres de Pevesché v de Metz, sans premierement m’en donner advis ; et, pour cest ellect, vous nommay le Maire, surintendant des afiaires de mon fils de Ver- neuil, duquel fapprendray toutes choses. Cependant j'ay sceu que vous aves pourveu à divers offices et faict mettre en vente des terres _ _ vaines et vagues ; en quoy je desire que pour le moins ceu}: que vous nommera le dit s" le Maire soyent preferez. A Dieu, mon Cousin. Ce xxf octobre 1609. D '

HENRY.

[1609.] — 2 2 ocroene. Imprimé.- (Economies myales, édit. orig. t. IV, p. 188. p [AU DUC DE SULLY.] 1 Mon amy, Je vous fais ce mot pour vous prier d’adviser avec m' le Èancelier quels commissaires de mon conseil ou autres seroient pro- pres à estre deputez pour, avec ceux qui le seront de la part de mon A frere le duc de Lorraine, ourveoir sur les diH’erends ui naissent 'our- P (I J nellement pour l’expl1cat1on ou execuuon du traicté de l’an SO1X3.I1tC— quatre touchant les confins du pays Messin, aflin de couper les difie- _ rends qui, à faulte de ce, pourroient naistre à l'advenir, comme câose _ que j’auray fort agreable. A Dieu, mon amy. Ce xx1_]° octobre, àr on—° tainebleau.

HENRY.

' Cette lettre était de la main du Roi. C