Page:Henri Poincaré - Théorie analytique de la propagation de la chaleur, 1895.djvu/113

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104 FIL INDÉFINI Si nous revenons au cas général où f(z) satisfait à la con- dition de Dirichlet, on a : D'PÙ: (ft —<p) et {f3 — if) sont des fonctionspositives décroissantes et tendant vers zéro. Les résultats précédents sont applicables à ces deux fonc- tions, et par suite à la fonction f(x) qui est leur différence. Les mêmes considérations s'appliqueraient à l'intégrale : et aussi à l'intégrale : 60. Considérons d'une façon générale : et supposons d'abord f(z) positive, décroissante et tendant vers zéro; quand x croît indéfiniment, cos q {x — z) s'annule pour des valeurs de z en progression arithmétique : Supposons que nous remplacions l'intégrale considérée