Page:Henri Poincaré - Théorie analytique de la propagation de la chaleur, 1895.djvu/157

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14S EQUATIONS ANALOGUES A CELLES DE LA CHALEUR Donc nous avons, pour les différentes valeurs de x, les valeurs suivantes do U : Si: on a: etsi: D'après la définition de J0, on voit que J0 (fo), ou l'on suppose x réel, croît avec la valeur absolue de a;. Le maximum de : = a donc lien pour as = o, c'est-à-dire au milieu de la partie ébranlée. Pour: une valeur donnée de x,J0 va en augmentant avec*.

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On s'en étonnerait si l'on ne se rappelait que le potentiel n'est pas égala U, mais h: Or, quand /est très grand, la valeur asymptotique dé yo{it) est: .'"; - ;y^.;; A étant une certaine constante numérique. Donc la valeur asymplolique de V est :