Page:Henri Poincaré - Théorie analytique de la propagation de la chaleur, 1895.djvu/262

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PROBLÈME DÎT REFROIDISSEMENT D'UN- CORPS 253 on en conclut, d'après celte égalité (2), que H y satisfait également. On a donc: à l'intérieur, et : à la surface. Je vais démontrer que l'on a; pour toutes les valeurs de i inférieures ou égales à n. En effet, multiplions les deux membres de l'égalité (2) par U;//r, et inlégronsj il vient : ou, en remplaçant A/par sa valeur : D'autre part, puisque l'on a: on en conclut :