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Page:Henry - Les Littératures de l’Inde.djvu/275

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CONTES 259

« El de plus il est 'lit. :

(Vers) « Les profès en doctrine, qui ne savenl pas se conduire, s'exposentaux risées, comme ces grands clercs qui étaient des imbéciles. »

« Qu'est-ce à dire ? » demanda l'homme à la roue. L'autre repril :

Le Hitôpadèça « l'Utile Instruction » ne mérite qu'une mention à la suite du Pancatantra, dont il n'est autre chose qu'un résumé ad usumjuniorum.

11 ;i joui à ce titre d'une popularité légiti

Le KathârijLO-oa « Océan do Contes » de Çiva dâsa n'a pas eu la même fortune : les .T> petits récits «lu manuscrit d'Oxford, à (tins Eorte raison le- 25 de celui de Florence, ne répondent pas à la grande étendue que la tradition littéraire attribue à cette collection évidemment mutilée, parce qu'elle a été reléguée dans l'oubli par le^ remaniements postérieurs dont elle a été l'objet, notamment dans le considérable poème de Sômadêva (p. 265). Le style en est sobre, et plutôt un pensée: la matière, prise un peu de toute main, soit dans les épisodes les plus connus du Mahâbhârata, soit dans la littérature populaire.

C'e-t précisément à son caractère folklorique qu'a dû sa vitalité particulière le recueil intitulé Yrinhij„iiirnrii,i<;ittil.() << les -j:> ( "ontes du Vam- pire ». qui primitivement c'était qu'une petite por- tion du Kathârnaoa, Devenu indépendant de la grande collection, il a été traduit dans le- dialectes modernes de l'Inde et s'y est néanmoins conservé

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