Page:Herbert - Essai sur la police générale des grains, 1755.djvu/22

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pour & contre, sans nous arrêter toujours à des allégations peu réfléchies. Nous vendions beaucoup de grains au dehors, avant que nous eussions pensé que ce commerce pouvoit être préjudiciable ; les Nations qui entendent le mieux leurs intérêts, s’en sont emparées à notre préjudice. Il est visible, qu’il a relevé leur culture, & contribué à augmenter leurs richesses & leur Marine. Considérations assez puissantes pour réveiller le zéle du bien public, & l’attention du Gouvernement.