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Page:Herold - La Légende de Sainte Liberata, 1889.djvu/19

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II

Comme, sous le soleil, dans un beau territoire,
Se dresse, au mois d'été, l'orgueil des épis mûrs,
La vierge, en son espoir des paradis futurs,
Entend la voix divine et propitiatoire.


Elle s’illustrera par la grande victoire
Sans pleurer, pour ses maux charnels, des pleurs impurs ;
Et de saintes clartés semblent percer les murs
Et des lueurs de ciel vaguent par l'oratoire.