D. Pourquoi cela ?
R. Parce qu’on reçoit celui qui fait le bonheur des anges et des saints dans le Ciel, et des hommes sur la Terre, et qui seul peut nous rendre heureux dans le Temps et dans l’Eternité.
D. Qu’est-ce qui peut encore faire sentir l’honneur que l’on reçoit, et le bonheur dont on jouit par la première communion ?
R. C’est que par ce moyen, 1.° on devient le sanctuaire de Jésus-Christ, dans lequel il veut bien entrer et demeurer ; 2 ° on lui est uni et incorporé d’une manière ineffable.
D. A quoi doit porter cette estime qu’il faut concevoir de la première communion ?
R. A ne pas s’en rendre indigne, mais au contraire à travailler à la mériter avec le secours de la Grâce.
D. Suffit-il d’être pénétré d’estime pour la première communion ?
R. Non, il faut encore avoir un désir ardent de la bien faire.
D. Qu’est-ce qui peut exciter et animer ce zèle ?