Aller au contenu

Page:Hess - La Question du Maroc, 1903.djvu/464

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
CHAPITRE VII
Le Maroc et les artistes. — Edmundo de Amicis. — Après la séduction des premiers jours, l’écrivain condamne comme les autres. — Pour ne pas condamner, Loti demeure dans le rêve. Ses fantaisies littéraires. — Une appréciation curieuse de l’économiste Collin de Louvain 
 119
CHAPITRE VIII
Nous avons, nous aussi, sur le Maroc, quelques écrivains de Louvain. — Le Maroc au Parlement. — M. Raiberti. — M. Etienne. — M. Delcassé. — Un article de M. Etienne sur les droits et les devoirs de la France au Maroc ! — M. Etienne apprécie le traité de 1845. — M. de la Martinière aussi. — M. de la Martinière critique le traité mais défend les négociateurs, car il est renseigné, bien qu’il ne publie de ses renseignements que ce qui donne tort aux Marocains. — Le statu quo. — Encore M. Moulieras. Une explication naïve de la naïveté des plénipotentiaires de 1845. — M. Sourdeau fit en 1820, une douloureuse expérience de l’ironie diplomatique des Marocains. — Ayons une diplomatie franche 
 128
CHAPITRE IX
Nous n’avons pas de droits sur le Maroc. — Notre situation en 1844. — Une lettre du maréchal Bugeaud à M. Guizot sur le prestige de l’Emir. — En échange de la mise d’Abdel-Kader hors la loi, que nous demandions au Sultan du Maroc, nous offrions d’évacuer Marnia. — Preuve. — Instructions remises par le maréchal Bugeaud au général Bedeau, au moment de la conférence de l’Oued-Mouilah. — Nous avions grand besoin du Sultan. — Preuve. — Rapport du gouvernement général d’Algérie. — Le Sultan tiraillé entre deux intérêts contraires. — Lettre de M. du Chasteau, chargé d’affaires à Tanger 
 147