452 TABLE DES MATIÈRES
CHAPITRE XIII
Comment on éluda les clauses les plus formelles du traité de 1845. — L’histoire du cercle d’Ain-Sefra. — RaPPorT La MARTINIÈRE CITANT LE GÉNÉRAL SAUSSIER et Îe MINISTRE DE LA GUERRF. UNE NOTE DU GÉNÉRAL DELEBERQUE. UNE NOTE DE M. OrnEGa. — Pour prendre une tribu affirmée au Maroc par le traité, on change le nom de cette tribu. — Ce « coup » des Amour et de Djemba, on le refait pour Mengoub. — L’avis DE M. RiBorT. — Ainsi, par une série de citations officielles est bien établie la question de droit. Nous n’avons pas de droits. — Il n’y a qu’injustice dans les politiques actuelles. — La tristesse de l’historien . . . + + . + + + + + « » + « + 188
LIVRE TROISIÈME
CHAPITRE XIV
La thèse de l’intérêt. Nous avons vu en prouvant, en établissant la vérité de fait que nous n’avons pas le droit de faire la guerre au Maroc. Voyons maintenant, en établissant la vérité de raison, que nous n’y avons pas davantage intérêt. — Spécification de l’intérêt. — Les intérêts privés dans les guerres ne doivent pas nous imposer des conquêtes nuisibles à l’intérêt général. — Quel serait l’intérêt général dans la conquête du Maroc. Les intérêts politiques. — Prestige moral ; il diminuerait . . . . . . . +. . + + + + + . 201
CHAPITRE XV
La conquête augmenterait-elle notre puissance militaire ? Dans l’offensive ? Non. — Dans la défensive ? Non plus. Comparaisons avec l’Algérie. — L’Espagne aurait avantage, nous pas. — C’est une faute de s’allier avec l’’Espagnol qui est détesté par le Marocain. — Nous n’avons pas assez d’hommes pour augmenter nos territoires .à
— défendre . . . . . . . . . , . . . . 210