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tant qu’il faudra pour que les pulsations ne causent pas d’ébranlements, et pour que les bords extrêmes des os du crâne, disjoints, se touchent mutuellement par leurs sutures ; elles ne le seront pas assez pour empêcher absolument la toux et l’éternuement ; mais elles contiendront les parties, sans leur faire violence, sans y permettre d’ébranlement.
fin du traité de l’officine du médecin.